Pour mettre en place une approche structurée de la traduction automatique dans le milieu scientifique, le commissaire à la langue française présente trois propositions.
Pour tenir compte de la disponibilité et de la performance des outils de traduction automatique, les universités devront analyser la situation linguistique de leur établissement et élaborer un cadre de bonnes pratiques pour y renforcer la place du français dans l’enseignement et la recherche.
Pour atteindre cet objectif, les universités devront :
Pour appuyer le réaménagement linguistique des universités québécoises, le pôle d’expertise aura pour mandat de :
Le centre de coordination devra établir des partenariats et négocier des accords avec les grands acteurs scientifiques mondiaux pour réaliser les mandats suivants :